C’est avec un des chefs-d’œuvre de Rossini que Myung-Whun Chung ouvre le Festival à la tête de l’Orchestre Philharmonique et du Chœur de Radio France.

Le Balcon, dirigé par Maxime Pascal, et les chanteurs Kévin Amiel et Stéphane Degout, proposent la version du Chant de la Terre de Mahler transcrite par Schœnberg

Considéré comme l’un des meilleurs orchestres du monde, il sera dirigé par Daniel Harding qui en est le « conductor laureate » (chef émérite). Pour ce concert à Saint-Denis, la violoniste Alina Ibragimova, invitée régulière des plus grands orchestres et chefs à travers le monde, se produira à leurs côtés.

Dom La Nena et Rosemary Standley, le duo de Birds on a Wire, s’associent à la Maîtrise de Radio France dirigée par Sofi Jeannin pour présenter leur nouvel opus dans la Basilique de Saint-Denis.

C’est dans le sublime Stabat Mater de Pergolèse que le Festival de Saint-Denis a la chance d’accueillir Pretty Yende pour la première fois.

Pour cette nouvelle aventure d’Ibrahim Maalouf à Saint-Denis, c’est à Gautier Capuçon que revient la création mondiale d’une nouvelle pièce pour violoncelle, sous la direction de Johanna Malangré.

Maria João Pires suscite l’enthousiamse des publics à travers le monde. Elle se produit pour la première fois au Festival de Saint-Denis.

La carrière d’Alexandre Kantorow a explosé depuis son Premier Prix au célèbre concours Tchaïkovski en 2019. Déjà surnommé « tsar du piano français », les critiques sont dithyrambiques et le public enthousiaste.
Pour ses débuts au festival, il est accompagné de la violoniste Liya Petrova, 1^er prix du Concours Carl Nielsen, pour interpréter 3 œuvres majeures du répertoire de musique de chambre violon-piano.

Pour son retour à la scène, MC Solaar revisite ses premiers albums en version symphonique, avec des arrangements pour orchestre signés Issam Krimi.

Au-delà de l’aspect musical, c’est tout le talent théâtral de Leonardo García Alarcón et de Cappella Mediterranea qui se met au service des deux Cantates de Bach au programme de cette soirée. Une manière savoureuse de redécouvrir la musique de Bach.

Programme entièrement consacré à des œuvres de Vivaldi et plus particulièrement aux airs pour mezzo, bien plus rares au concert.

Après Pergolèse et Rossini, troisième Stabat Mater de cette édition.

C’est l’exceptionnelle Barbara Hannigan, dont on connaît l’engagement pour la musique du 20e siècle, qui interprète, avec la complicité d’Alphonse Cemin, l’œuvre de Grisey.

Patricia Kopatchinskaja est l’une de ces artistes qui savent avec passion nous entraîner dans leurs aventures musicales. Le Pierrot lunaire, au centre de ce programme, en est le parfait exemple.

Jean-Paul Gasparian a choisi Debussy et Chopin pour ce premier récital dans le cadre du Festival de Saint-Denis.

C’est avec le célèbre Requiem de Duruflé et la Rhapsodie pour alto de Brahms, œuvre emblématique du répertoire de contralto, que le directeur musical de l’Orchestre National de France Cristian Măcelaru a choisi de faire sa première apparition au Festival de Saint-Denis.

Habituellement à la tête des plus grands orchestres, ce concert est une occasion unique d’entendre le grand chef d’orchestre Sir Simon Rattle au piano.